ParadeDesign

 

L’agence Paradedesign de la plasticienne Ghislaine Coudert conçoit des installations et scénographies lumineuses dans le cadre d’événements artistiques et culturels tels que la Nuit des Musées, la Fête des Lumières, Les Grandes Eaux Nocturnes de Versailles, les Festivals  en France et à l’international. Son activité construite autour d’un travail d’expérimentation, conjugue tissus et soufflerie dans la création de formes lumineuses ventilées vers l’émergence d’univers poétiques… L’ensemble de ses réalisations alliant très souvent Design et Patrimoine, dialogue avec l’environnement choisi et propose ainsi une nouvelle lecture des lieux…

  

Dolorès Crocos 

 

Caraïbes, Cumbia, Colombie, Zaïre, Afrobeat, Ska ... Dolorès Crocos fait le tour du monde des musiques du soleil pour offrir un bal de chaleur et de franche bonne humeur à coup de cuivres, de percussions, de ukulele et d'accordéon.

  

Le grand concert

 Une production des Utopies festivales

 

LE SEPTUOR : Harpe : Odile ABRELL – Flûte : Lena GUTKE – Clarinette : Pierre RAGU – Alto : Marie-Sarah DANIEL -  Violon : Louise RAGU – Violon : Augustin RAMOS – Violoncelle : Isabelle VEYRIER
LA RECITANTE : Sophie DAULL

 

L'Introduction et allegro, septuor pour harpe, flûte, clarinette et quatuor à cordes, de Maurice Ravel, fut composé en 1905 et créé le 22 février 1907 à Paris. Le septuor Introduction et allegro comporte deux mouvements, comme son nom l'indique, mais est exécuté d'un seul tenant sur onze minutes environ.

 

L'histoire de Babar le petit éléphant est un conte musical dont la musique a été composée entre 1940 et 1945. Pendant l'été 1940, Francis Poulenc séjourne chez des cousins à Brive-la-Gaillarde. Par dérision, les enfants de la maison déposent les Aventures de Babar, sur le pupitre de son piano, et lui demandent de leur jouer l'histoire. Poulenc s'exécute et improvise librement autour des situations narratives qui lui sont proposées. C'est à partir de ces souvenirs qu'il compose la musique qui accompagne la célèbre bande dessinée de Brunhoff.

  

Ciné concert

La Jeune Fille au carton à chapeau

un film muet soviétique réalisé par Boris Barnet  sorti en 1927. 

 

Sylvain KASSAP : Clarinettes - Nils KASSAP : Clarinettes - Janick MARTIN : Accordéon - Samuel BER : Batterie.

  

Natacha Korosteleva fabrique des chapeaux à domicile qu'elle livre ensuite à Madame Irène, modiste à Moscou. Au cours d'un de ses déplacements, elle fait la connaissance d'Ilia Snegirev, un jeune ouvrier d'origine provinciale. 

 

 Ensemble Kymia 

 

Olivier MARIN : Alto - Alice PICAUD : Violoncelle - Amir AMIRI : Santour iranien - Roméo MONTEIRO : Percussions indiennes.

 

L'ensemble Kimya composé de quatre musiciens d'horizons divers, propose une musique aux sonorités hybrides, fruit d’une rencontre entre santour, alto, violoncelle et percussions, entre Orient et Occident, vers des univers inexplorés. Les créations et adaptations de ces quatre musiciens explorateurs, imprégnées de motifs traditionnels retravaillés dans une approche résolument contemporaine, tissent des ponts entre cultures anciennes et temps présents.

 

 

 

 

 

Collectif Pleine(s) lune(s)

 

Basé à Semur-en Auxois, ce laboratoire de la nuit maîtrise parfaitement les projections monumentales sur toutes sortes de bâtiments. Sur les murs du château de Pisy elles donneront une nouvelle vie aux vieilles pierres.

 

Iguazu quintet

 

Wynand MAWET : guitares – Marion BORGEL : violon – Pauline OREINS : accordéon – Hakim TALBI : piano – Nicolas SANNA : basse électrique

  

Iguazú Quintet voit le jour dans les murs du Conservatoire Royal de Mons en début d’année 2016 comme un projet de musique de chambre ordinaire. Tombé amoureux depuis plusieurs années de la musique d’Astor Piazzolla, le guitariste Wynand Mawet décide d’explorer ce répertoire dans la formation traditionnelle créée par le maitre argentin : le Quintet de Tango Nuevo.

 

Fort de toutes ces explorations, Iguazú Quintet est une expérience musicale entre deux mondes, une formation de « Jazz de chambre » qui chante un amour passionnel pour le Tango Nuevo, proposant aux musiciens et auditeurs de tous horizons un concert aux nombreuses surprises : A New Age of Tango.

 Il s’entoure alors d’étudiant.e.s du conservatoire, rassemblé.e.s par la passion commune d’une musique à la fois moderne et empreinte de métissages.

 

Rentrant en contact avec des compositeurs bien connus du Tango Nuevo, tels que Rodolfo Mederos ou Tomás Gubitsch, ielles font également appel à de jeunes compositeurs belges tels que le pianiste et accordéoniste Jimmy Bonesso afin d’élargir le répertoire. 

  

 Samuel Strouk quartet

 

Samuel STROUK : guitare – Damien FRANCON : batterie – Guillaume MARIN : basse – Jean-Pierre FORTE : violon

 

 

Samuel Strouk collabore avec des solistes issus d'une grande variété de styles : Boris Andrianov, Dimitri Illarionov, Biréli Lagrène, Vincent Peirani, François Salque, Alexander Abreu ou Rolando Luna. En parallèle de ses activités de guitariste, compositeur, arrangeur ou directeur musical Samuel Strouk est le directeur artistique et programmateur de Maisons-Laffitte Jazz Festival depuis 2013.

 

Diplômé du Conservatoire national de région de Paris en guitare classique et en musique de chambre du Conservatoire national de région de Montpellier, le compositeur et guitariste Samuel Strouk est joué par de nombreux orchestres symphoniques français et étrangers tels que l'Orchestre National d'Ile-de-France, L'Orchestre National de Bretagne ou le Tchaïkovsky Symphony Orchestra. 

 

Á l'occasion des 70 ans de la disparition de Django Reinhardt, Samuel Strouk compose Django 70th en 2023, une suite symphonique interprétée entre autres par Biréli Lagrène. 

 

 En parallèle de ses activités de guitariste, compositeur, arrangeur ou directeur musical Samuel Strouk est le directeur artistique et programmateur de Maisons-Laffitte Jazz Festival depuis 2013.

 

 Makina Burleska

 

Makina est un art de la performance située, un processus d’écriture chorégraphique dont l’esthétique se donne dans la veine d’un ciné-burlesque ré inventé, absurde, skiza, Dada, Kafka. Makina est constituée par un collectif d’acteurs.rices, danseurs.euses. Singulière ethnie, ce groupe de gens en blouse, arpente les territoires des nouveaux temps modernes.
Makina ne crée pas d’objet spectacle, mais transforme tout objet trouvé, tout territoire, en une poétique de l’environnement.
Non pas spectacle vivant mais spectacle du vivant !
Chaque création de Makina est donc inédite et spécifique à un territoire.
À la façon d’un Don Quichotte, Makina se met en quête de libérer les forces muettes de sous leur forme figée pour les rendre à leur expression sensible et vitale.
Makina fait du territoire, le spectacle de son ré-enchantement, de sa mise en mouvement : le lieu s’anime, devient mouvement, cinématique, danse et musique. Le ballet machinique des corps ouvre le passage à une vision décentrée du monde.